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Comment l’agriculture s'organise-t-elle ?
Comment l’agriculture s'organise-t-elle ?
L'organisation de l'agriculture dans ce contexte est profondément influencée par les préférences alimentaires des Catthéens, qui sont majoritairement carnivores. Cela signifie que l'agriculture ne se concentre pas principalement sur la production de denrées végétales, sauf en ce qui concerne la culture du Matatabi, une plante appréciée pour son intérêt commercial et énergétique.
Cependant, il existe une utilisation de l'agriculture céréalière pour compléter les rations alimentaires de certaines classes sociales, ce qui permet de densifier leur alimentation mais au détriment de la qualité nutritive et de leur santé.
En raison de cette situation, les produits agricoles céréaliers de moindre qualité nutritive sont principalement réservés aux classes sociales les plus défavorisées. Les individus appartenant à des classes plus aisées ont accès à des sources de protéines animales plus brutales et naturelles.
La méthode d'agriculture mise en place pour ces cultures, y compris la culture du Matatabi, est innovante et adaptée aux besoins et contraintes de l'environnement. Les cultures sont organisées dans des serres hydroponiques hors sol, où les plantes poussent dans un environnement contrôlé. Cela permet un contrôle précis des éléments nutritifs et de l'humidité, favorisant ainsi la croissance optimale des plantes.
Un aspect notable de cette agriculture est son niveau élevé d'automatisation. Les systèmes d'entretien, de récolte et d'arrosage sont en grande partie automatisés, réduisant ainsi la nécessité d'une intervention manuelle constante.
Les techniciens d'entretien de machines sont les seuls membres du personnel directement impliqués dans la gestion quotidienne des opérations agricoles.
En outre, le personnel de laboratoire, composé d'experts en génétique, jouant un rôle crucial dans le développement et l'amélioration des cultures. Leur travail consiste à étudier les caractéristiques des plantes, à développer de nouvelles variétés adaptées aux besoins nutritionnels et à améliorer les rendements agricoles grâce à des méthodes de manipulation génétique.
Existe-t-il des fermes à bétails ou à poissons ?
Existe-t-il des fermes à bétails ou à poissons ?
Les fermes à bétail produisent divers types d'animaux destinés à la consommation de la population. Parmi les choix disponibles, on trouve des fermes spécialisées dans l'élevage de volailles, de poissons et même de rongeurs.
Les produits de ces fermes sont ensuite transformés en viande pour satisfaire la demande alimentaire.
Quant à la consommation, ces viandes sont destinées à tous ceux qui en ont les moyens. Cependant, l'accès à ces produits peut varier en fonction des classes sociales.
Les catégories de viande peuvent également différer en termes de qualité. Pour les produits les plus nobles, on va retrouver les produits brutes, et plus nous descendons, plus la “viande” utilisée sont des restes de cartilage, os, tendons et autres, broyés.
A quel types de nourritures la population à accès ?
A quel types de nourritures la population à accès ?
La population a un accès variable à différents types de nourriture en fonction de sa classe sociale. Les plus riches ont accès à une variété de choix, allant des produits bruts aux viandes de meilleures qualités. Les "boucheries" de luxe situées en haut de la ville proposent des coupes fines et raffinées, tandis que des boîtes de pâté contenant de la viande de qualité supérieure et des snacks tels que des croquettes et de la viande séchée sont disponibles pour une consommation moins aisée.
Cependant, la nourriture brute est rare pour la majorité de la population, à l'exception des plus fortunés. Dans les parties basses de la ville, les habitants ont accès à des aliments transformés, comme des tubes contenant des restes de viandes et de poissons déchiquetés, associés aux restes de carcasses.
Ces options sont souvent disponibles dans des distributeurs ou des commerces, mais la fréquence de réapprovisionnement varie en fonction de l'étage de la ville et de la dangerosité de celle-ci. Les produits alimentaires bas de gamme sont souvent enrichis avec des ingrédients issus de l'agriculture pour garantir une satiété suffisante malgré les contraintes budgétaires.
A noter qu’une influence culinaire “niponne” se fait sentir, avec des plats comme des nouilles sautées, des ramen, des sushis et des fritures revisitées pour s'adapter à la prédominance de la viande. Par exemple, des nouilles à base de cartilage reconstitué peuvent être utilisées pour donner une touche à la fois esthétique et adaptée au régime carnivore de la société.
Les options de restauration comprennent des restaurants de comptoir, mais ceux qui peuvent se permettre de manger à l'extérieur sont souvent liés à des gangs. Les restaurants gastronomiques se trouvent principalement dans les parties supérieures de la ville, réservés à l'élite aisée.
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